RÉCITS POLYÉDRIQUES
  • INTRODUCTION
  • JEUX DE RÔLE
  • ⠂RESSOURCES
    • AIDES DE JEU
    • ⠂NOUVELLES
    • TOUT
  • LIENS UTILES
ACCUEIL
  • INTRODUCTION
  • JEUX DE RÔLE
  • ⠂RESSOURCES
    • AIDES DE JEU
    • ⠂NOUVELLES
    • TOUT
  • LIENS UTILES

AU NOM DE LA ROSE

UNE NOUVELLE POUR THE WITCHER

Au nom de la Rose

Une nouvelle pour The Witcher





À propos

AU NOM DE LA ROSE

Temps de lecture : 5-7 minutes

Auteur : Récits Polyédriques © 2025

La présente nouvelle s'inspire de l’ordre rigide et moralisateur de la Rose Ardente, dont on sait que les préceptes peuvent attirer des fanatiques susceptibles d'agir selon une interprétation personnelle des écritures, quitte à blâmer parfois certains membres dont ils jugent la conduite impropre.

L'illustration sélectionnée pour l'occasion est une création de l'artiste indépendant ukrainien Dmytro Kotlyarov, spécialisé dans la conception d'environnements, de textures et de personnages pour les industries du cinéma et du jeu vidéo.

S'il est bon d’avoir les fanatiques de la Rose Ardente et autres chasseurs de sorcières à nos côtés, il est néanmoins préférable de les laisser hors de nos frontières, d'autant que si nous devions les sacrifier dans la guerre contre le Nilfgaard, nous n’aurions qu’à les siffler, car ils ne seront jamais très loin. Leur puissance a trop longtemps été mésestimée et traitée avec légèreté, quand bien même leur ordre est-il à l'agoni. L'actuel Grand Maître a beau être prudent, il n'en demeure pas moins un exalté dont le seul but consiste à étendre son autorité sur toutes les âmes des royaumes du Nord. Pour y parvenir, il a depuis peu entammé une guerre secrète contre les loges de magiciennes ; les présentes persécutions, instruites par des moyens de torture qui impliquent presque nécessairement des flammes et des fers rouges, ne sont que le prélude à une attaque directe contre ces dernières.

 

Ori Reuven

The Witcher, CD Projekt Red, 2007

S'il est bon d’avoir les fanatiques de la Rose Ardente et autres chasseurs de sorcières à nos côtés, il est néanmoins préférable de les laisser hors de nos frontières, d'autant que si nous devions les sacrifier dans la guerre contre le Nilfgaard, nous n’aurions qu’à les siffler, car ils ne seront jamais très loin. Leur puissance a trop longtemps été mésestimée et traitée avec légèreté, quand bien même leur ordre est-il à l'agoni. L'actuel Grand Maître a beau être prudent, il n'en demeure pas moins un exalté dont le seul but consiste à étendre son autorité sur toutes les âmes des royaumes du Nord. Pour y parvenir, il a depuis peu entammé une guerre secrète contre les loges de magiciennes ; les présentes persécutions, instruites par des moyens de torture qui impliquent presque nécessairement des flammes et des fers rouges, ne sont que le prélude à une attaque directe contre ces dernières.

 

Ori Reuven

The Witcher, CD Projekt Red, 2007

*

 

*           *

*

 

*         *

J'ai eu le temps de les voir arriver, montant dans les arbres qui entourent la place par grappes entières, se pressant aux fenêtres. C'est bien, venez, c'est une belle journée. Le bois est sec, il prendra facilement. C'est toujours la même chose avec la populace, elle ne veut rien manquer du spectacle. Formidable, vous ne serez pas déçus !

 

L'heure approche. J’entends enfler la rumeur qui vient de la grande rue, les cris et les insultes qui accompagnent la charrette après qu’elle ait quitté le beffroi. Elle se rapproche, fendant la foule qui vomie sa haine, sous les quolibets et les projectiles. Debout dans une cage en bois scellées par une armature en fer, elle est en haillons, le crâne rasé, des bleus sur les bras, le cou, les jambes, le visage. Et pourtant, elle reste digne, silencieuse. D’aucuns diront qu’elle est belle, à sa façon.

 

J'en ai vu, des non-humains, des sorciers et des sorcières. Tous se sont effondrés, ont supplié, pleuré et hurlé à s'en briser la voix et l'âme. J'en ai vu aussi, comme elle, demeurer impassibles. Acceptation ou résignation, je l'ignore. Mais au moment de rejoindre l’échafaud, je n’en ai pas vu un seul qui n'ait pas eu peur. Seulement elle ... Elle n'est pas comme les autres.

 

Du haut de l’estrade, les bras croisés, j’observe l’arrivée du cortège, entouré de l’inquisiteur engoncé dans sa soutane rouge et blanche et de ses chevaliers. Tous arborent une croix noire brodée auréolée de motifs liturgiques cousus au fil d'or. Le prêtre, venu directement de Novigrad, fera la lecture des multiples chefs d'accusation ainsi que de la sentence avant de réciter je ne sais quelle prière inutile et moi, j'allumerai le bûcher. Tout le monde compte sur moi ; maintenant que le "juste courroux purificateur" s’est abattu sur le hameau, il va le débarrasser de cette souillure ignoble ... Une de plus. Une de trop.

 

La charrette s'arrête à proximité de l’imposant monticule de terre qui supporte la charpente. Depuis qu'elle a été arrêtée, plus personne ne l'appelle par son prénom. Elle est devenue "la sorcière". Mais pas pour moi. J'ai dû veiller sur elle pendant qu'elle attendait son procès, enfermée dans cette cave humide qui lui servait de prison. De l'eau, un peu de pain, et surtout, qu'elle ne se tue pas. Au début, elle ne disait rien, me considérait à peine, jusqu'au jour où elle a plongé son regard dans le mien, et que j'ai compris. Celles et ceux qui l’avaient précédé n'avaient rien à voir avec la magie et les forces des ténèbres, mais elle, c'était différent, elle était là car elle l'avait choisi. Elle aurait pu s'échapper, me tuer et fuir sans demander son reste, mais au lieu de ça, elle m'a parlé, m'a posé des questions et je lui ai répondu. Nos phrases se sont mêlées, nos esprits se sont entendus, et la voici, résolue à mettre un terme aux persécutions de ces prédicateurs fanatiques.

 

Deux chevaliers ouvrent la cage et la font sortir sous les huées. Les mains liées dans le dos, elle monte sur l’estrade, crache à mes pieds et trébuche pour me tomber dans les bras. Profitant de la confusion, elle murmure aussitôt une courte incantation à laquelle je réponds par les quelques mots qu'elle m'a enseigné. Puis je fais mine de la redresser et elle est présentée au public qui éructe une nouvelle fois tout son fiel. D’un geste autoritaire, le prêtre réclame et obtient le silence. Il lit rapidement la sentence, soucieux de ne pas faire languir davantage la foule surexcitée. Après tout, qui se soucie des droits d'une sorcière ? Qu'elle crève, qu'on en finisse !

 

Il n'y avait que du chêne et du pin dans la réserve, si bien que je suis parti chercher ce qu'il fallait dans la forêt. Du cyprès, l'arbre de vie, et du châtaignier, symbole de justice. J'ai glissé une mèche de ses cheveux entre deux ramures que j’ai liées avec des brindilles. À présent qu’elle frôle le petit fagot discrètement glissé entre deux bûches enduites de graisse de bovins, ma torche bleuie et vacille brièvement. Sans un mot, elle grimpe sur le tabouret qui permet de rejoindre la plateforme fixée sur le poteau central. N’osant croiser son regard, je l’attache au moyen de solides cordages, avant de disposer ce qui reste de bois et de branchages autour d’elle, et de réaliser à quel point elle me voue une confiance aveugle. J'aurais pu lui mentir, la laisser seule avec ses pensées impies, fruit d'une croyance exaltée qui l’avait poussé dès son plus jeune âge à rejoindre un obscur groupe d'hérétiques convaincus de parjure, ou par pure méchanceté, pour me satisfaire d'un énième sacrifice ... Et si je m'étais trompé ? Si j'avais été incapable de reconnaître les essences dont elle avait besoin ?

 

La cloche sonne, il est temps. Je lève ma torche vers le ciel pour que chacun puisse l’observer ; regardez-la bien, car c'est la vôtre, elle est pour vous ! Ce faisant, j’entreprends d’allumer le bûcher en plusieurs endroits. Et tandis que le cyprès et le châtaignier s'enflamment, je me positionne volontairement devant la condamnée. Personne ne comprend pourquoi j’agis de la sorte, et je sens immédiatement la colère monter alors que le feu commence à crépiter. Le prêtre m’ordonne de m’écarter, mais ni lui ni ses hommes ne peuvent s'approcher car la température est déjà beaucoup trop élevée.

 

La foule enrage et n'en peut plus d'aboyer, quand soudain, les cris d’amertume et de frustration se transforment en exclamations de surprise, mêlée à de la peur, cependant qu'une brise légère s’échappe du foyer et m’enveloppe. C'est le signal ! Je me retourne. Élevée à quelques dizaines de centimètres au-dessus de la plateforme, débarrassée de ses cordages, elle écarte les bras, les yeux révulsés, le corps intact. À l'instar du brasier qui s'élargit, le souffle se renforce et sa caresse, d'une douceur maligne, me paralyse. Des centaines de voix m’implorent de l'achever avant qu'un autre malheur n'arrive par sa faute, mais c'est trop tard.

 

Je fais de nouveau face à l’esplanade pleine à craquer. Derrière moi, un son rauque sort de sa gorge, donnant lieu à un flottement angoissant, bientôt suivi d’un grondement aussi puissant qu’effroyable, et toute la place s'embrase ! La vague de chaleur qui s’en suit me fait cligner des yeux, tandis que le jugement céleste me saute au visage. Telles les flammes du funeste dragon qui ont dévoré le prophète Lebioda, le feu brûle tout, ne laisse aucune chance, à personne. Après lui, il ne reste qu’un amas de corps calcinés et fumants, accompagné d’une odeur répugnante de chairs brûlées.

 

Nous ne disons rien. Nous nous regardons longuement, c'est suffisant. Du reste, nous partons sans nous retourner, cheminant à travers la vallée de Sudoth en quête de familles superstitieuses qui n’ont pour unique raison d’exister que la violence et la peur d’autrui. Pour elle, une nouvelle cellule anonyme et nauséabonde en attendant un procès à la moralité douteuse. Pour moi, de confortables émoluments facilement gagnés auprès du bourgmestre du village. Jamais je n'ai regretté ma décision de la suivre, car malgré les tempêtes qui consument les hameaux que nous traversons et les troupes de Lyrie et Rivie qui nous traquent sans relâche, elle m'a enseigné quantité de choses savantes à propos de ce monde bien trop vaste et périlleux ... exception faite de son propre nom, qu'elle s'est toujours abstenue de prononcer, comme pour nous tenir éloignés d'un sinistre danger dont elle seule connaît la nature profonde.

J'ai eu le temps de les voir arriver, montant dans les arbres qui entourent la place par grappes entières, se pressant aux fenêtres. C'est bien, venez, c'est une belle journée. Le bois est sec, il prendra facilement. C'est toujours la même chose avec la populace, elle ne veut rien manquer du spectacle. Formidable, vous ne serez pas déçus !

 

L'heure approche. J’entends enfler la rumeur qui vient de la grande rue, les cris et les insultes qui accompagnent la charrette après qu’elle ait quitté le beffroi. Elle se rapproche, fendant la foule qui vomie sa haine, sous les quolibets et les projectiles. Debout dans une cage en bois scellées par une armature en fer, elle est en haillons, le crâne rasé, des bleus sur les bras, le cou, les jambes, le visage. Et pourtant, elle reste digne, silencieuse. D’aucuns diront qu’elle est belle, à sa façon.

 

J'en ai vu, des non-humains, des sorciers et des sorcières. Tous se sont effondrés, ont supplié, pleuré et hurlé à s'en briser la voix et l'âme. J'en ai vu aussi, comme elle, demeurer impassibles. Acceptation ou résignation, je l'ignore. Mais au moment de rejoindre l’échafaud, je n’en ai pas vu un seul qui n'ait pas eu peur. Seulement elle ... Elle n'est pas comme les autres.

 

Du haut de l’estrade, les bras croisés, j’observe l’arrivée du cortège, entouré de l’inquisiteur engoncé dans sa soutane rouge et blanche et de ses chevaliers. Tous arborent une croix noire brodée auréolée de motifs liturgiques cousus au fil d'or. Le prêtre, venu directement de Novigrad, fera la lecture des multiples chefs d'accusation ainsi que de la sentence avant de réciter je ne sais quelle prière inutile et moi, j'allumerai le bûcher. Tout le monde compte sur moi ; maintenant que le "juste courroux purificateur" s’est abattu sur le hameau, il va le débarrasser de cette souillure ignoble ... Une de plus. Une de trop.

 

La charrette s'arrête à proximité de l’imposant monticule de terre qui supporte la charpente. Depuis qu'elle a été arrêtée, plus personne ne l'appelle par son prénom. Elle est devenue "la sorcière". Mais pas pour moi. J'ai dû veiller sur elle pendant qu'elle attendait son procès, enfermée dans cette cave humide qui lui servait de prison. De l'eau, un peu de pain, et surtout, qu'elle ne se tue pas. Au début, elle ne disait rien, me considérait à peine, jusqu'au jour où elle a plongé son regard dans le mien, et que j'ai compris. Celles et ceux qui l’avaient précédé n'avaient rien à voir avec la magie et les forces des ténèbres, mais elle, c'était différent, elle était là car elle l'avait choisi. Elle aurait pu s'échapper, me tuer et fuir sans demander son reste, mais au lieu de ça, elle m'a parlé, m'a posé des questions et je lui ai répondu. Nos phrases se sont mêlées, nos esprits se sont entendus, et la voici, résolue à mettre un terme aux persécutions de ces prédicateurs fanatiques.

 

Deux chevaliers ouvrent la cage et la font sortir sous les huées. Les mains liées dans le dos, elle monte sur l’estrade, crache à mes pieds et trébuche pour me tomber dans les bras. Profitant de la confusion, elle murmure aussitôt une courte incantation à laquelle je réponds par les quelques mots qu'elle m'a enseigné. Puis je fais mine de la redresser et elle est présentée au public qui éructe une nouvelle fois tout son fiel. D’un geste autoritaire, le prêtre réclame et obtient le silence. Il lit rapidement la sentence, soucieux de ne pas faire languir davantage la foule surexcitée. Après tout, qui se soucie des droits d'une sorcière ? Qu'elle crève, qu'on en finisse !

 

Il n'y avait que du chêne et du pin dans la réserve, si bien que je suis parti chercher ce qu'il fallait dans la forêt. Du cyprès, l'arbre de vie, et du châtaignier, symbole de justice. J'ai glissé une mèche de ses cheveux entre deux ramures que j’ai liées avec des brindilles. À présent qu’elle frôle le petit fagot discrètement glissé entre deux bûches enduites de graisse de bovins, ma torche bleuie et vacille brièvement. Sans un mot, elle grimpe sur le tabouret qui permet de rejoindre la plateforme fixée sur le poteau central. N’osant croiser son regard, je l’attache au moyen de solides cordages, avant de disposer ce qui reste de bois et de branchages autour d’elle, et de réaliser à quel point elle me voue une confiance aveugle. J'aurais pu lui mentir, la laisser seule avec ses pensées impies, fruit d'une croyance exaltée qui l’avait poussé dès son plus jeune âge à rejoindre un obscur groupe d'hérétiques convaincus de parjure, ou par pure méchanceté, pour me satisfaire d'un énième sacrifice ... Et si je m'étais trompé ? Si j'avais été incapable de reconnaître les essences dont elle avait besoin ?

 

La cloche sonne, il est temps. Je lève ma torche vers le ciel pour que chacun puisse l’observer ; regardez-la bien, car c'est la vôtre, elle est pour vous ! Ce faisant, j’entreprends d’allumer le bûcher en plusieurs endroits. Et tandis que le cyprès et le châtaignier s'enflamment, je me positionne volontairement devant la condamnée. Personne ne comprend pourquoi j’agis de la sorte, et je sens immédiatement la colère monter alors que le feu commence à crépiter. Le prêtre m’ordonne de m’écarter, mais ni lui ni ses hommes ne peuvent s'approcher car la température est déjà beaucoup trop élevée.

 

La foule enrage et n'en peut plus d'aboyer, quand soudain, les cris d’amertume et de frustration se transforment en exclamations de surprise, mêlée à de la peur, cependant qu'une brise légère s’échappe du foyer et m’enveloppe. C'est le signal ! Je me retourne. Élevée à quelques dizaines de centimètres au-dessus de la plateforme, débarrassée de ses cordages, elle écarte les bras, les yeux révulsés, le corps intact. À l'instar du brasier qui s'élargit, le souffle se renforce et sa caresse, d'une douceur maligne, me paralyse. Des centaines de voix m’implorent de l'achever avant qu'un autre malheur n'arrive par sa faute, mais c'est trop tard.

 

Je fais de nouveau face à l’esplanade pleine à craquer. Derrière moi, un son rauque sort de sa gorge, donnant lieu à un flottement angoissant, bientôt suivi d’un grondement aussi puissant qu’effroyable, et toute la place s'embrase ! La vague de chaleur qui s’en suit me fait cligner des yeux, tandis que le jugement céleste me saute au visage. Telles les flammes du funeste dragon qui ont dévoré le prophète Lebioda, le feu brûle tout, ne laisse aucune chance, à personne. Après lui, il ne reste qu’un amas de corps calcinés et fumants, accompagné d’une odeur répugnante de chairs brûlées.

 

Nous ne disons rien. Nous nous regardons longuement, c'est suffisant. Du reste, nous partons sans nous retourner, cheminant à travers la vallée de Sudoth en quête de familles superstitieuses qui n’ont pour unique raison d’exister que la violence et la peur d’autrui. Pour elle, une nouvelle cellule anonyme et nauséabonde en attendant un procès à la moralité douteuse. Pour moi, de confortables émoluments facilement gagnés auprès du bourgmestre du village. Jamais je n'ai regretté ma décision de la suivre, car malgré les tempêtes qui consument les hameaux que nous traversons et les troupes de Lyrie et Rivie qui nous traquent sans relâche, elle m'a enseigné quantité de choses savantes à propos de ce monde bien trop vaste et périlleux ... exception faite de son propre nom, qu'elle s'est toujours abstenue de prononcer, comme pour nous tenir éloignés d'un sinistre danger dont elle seule connaît la nature profonde.

Envie de poursuivre votre lecture ?

Découvrez le jeu de rôle sur table qui a inspiré cette nouvelle ...

Envie de poursuivre votre lecture ?

Découvrez le jeu de rôle sur table qui a inspiré cette nouvelle ...

The Witcher

 

Alors que la troisième guerre contre le Nilfgaard commence, nombre d'aventures se jouent déjà à travers le Continent ... et vous êtes au centre de l’une d’entre elles ! Le jeu de rôle The Witcher vous permet de raconter vos propres histoires dans le légendaire monde du Sorceleur. Aventurez-vous à travers des contrées emplies de créatures monstrueuses, depuis les embarrassants nekkers aux imposants et hypnotiques fiellons, échangez avec des légendes vivantes comme Yennefer de Vengerberg ou Vernon Roche et tentez d'influencer les politiques locales ... ou jouez simplement vos propres aventures afin de vous couvrir de gloire !

Découvrir

The Witcher

 

Alors que la troisième guerre contre le Nilfgaard commence, nombre d'aventures se jouent déjà à travers le Continent ... et vous êtes au centre de l’une d’entre elles ! Le jeu de rôle The Witcher vous permet de raconter vos propres histoires dans le légendaire monde du Sorceleur. Aventurez-vous à travers des contrées emplies de créatures monstrueuses, depuis les embarrassants nekkers aux imposants et hypnotiques fiellons, échangez avec des légendes vivantes comme Yennefer de Vengerberg ou Vernon Roche et tentez d'influencer les politiques locales ... ou jouez simplement vos propres aventures afin de vous couvrir de gloire !

Découvrir

Envie de poursuivre votre lecture ?

Découvrez le jeu de rôle sur table qui a inspiré cette nouvelle ...

Envie de poursuivre votre lecture ?

Et si vous preniez le temps de découvrir le roman qui a inspiré cette nouvelle ...

The Witcher

Alors que la troisième guerre contre le Nilfgaard commence, nombre d'aventures se jouent déjà à travers le Continent ... et vous êtes au centre de l’une d’entre elles ! Le jeu de rôle The Witcher vous permet de raconter vos propres histoires dans le légendaire monde du Sorceleur. Aventurez-vous à travers des contrées emplies de créatures monstrueuses, depuis les embarrassants nekkers aux imposants et hypnotiques fiellons, échangez avec des légendes vivantes comme Yennefer de Vengerberg ou Vernon Roche et tentez d'influencer les politiques locales ... ou jouez simplement vos propres aventures afin de vous couvrir de gloire !

Récits Polyédriques

 

Contact | Crédits

Haut de page

 

 

Plan du site

 

Accueil

Introduction

Jeux de rôle

Ressources

Aides de jeu

Nouvelles

Liens utiles

Contact

Crédits

 

  

 

Informations

 

Agate Éditions

Arkhane Asylum Publishing

Black Book Éditions

Département des Sombres Projets

Les XII Singes

Edge Entertainment

Elder Craft

Les Ludopathes

Sycko

Récits Polyédriques • Contenu ludique pour jeux de rôle sur table